Les raisons d’aimer le Laos, le pays qui a inventé les tambours de bronze ornés de grenouilles pour faire tomber la pluie, sont plus nombreuses que jamais.
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Les raisons d’aimer le Laos, le pays qui a inventé les tambours de bronze ornés de grenouilles pour faire tomber la pluie, sont plus nombreuses que jamais.
Avis aux amoureux de grands espaces soucieux d’équité. À 130 kilomètres à l’ouest d’Antananarivo, au cœur des Hautes Terres de Madagascar, le lac Itasy et ses volcans font l‘objet d’un projet d’écotourisme qui permettrait aux villageois de mieux vivre.
Criques et plages reculées, intérieurs des mangroves, bancs de sable blanc, îlots, formations de corail… Mais les secrets les mieux gardés du lagon de Mayotte, ce sont les lieux de passage des dauphins et des baleines.
On le croyait disparu depuis soixante-dix millions d’années. Il a refait surface en 1938. Le cœlacanthe était réfugié aux Comores. Au pays des légendes.
À La Digue, quatrième île en surface des Seychelles, le vélo est plus qu’un moyen de locomotion : une manière de vivre. Il rythme les journées et permet d’aller à la rencontre d’un passé toujours vivant.
Petite balade dans Paris réalisée pour un guide touristique allemand en 1990.
Parc marin, l’île Curieuse abrite une petite colonie de tortues géantes des Seychelles. Elle est aussi avec Praslin la terre d’origine du palmier coco-de-mer.
L’île Sainte Marie, au large de Madagascar, exerce un attrait puissant sur tous ses visiteurs.
A La Réunion, c’est dans le Sud dit “ sauvage ”, aux collines un peu mystérieuses, que les premiers temps de la colonisation ont laissé le plus leur empreinte.
D’un côté, le lac dont on pourrait presque toucher la surface de la main. De l’autre, la chute vertigineuse du barrage. Au-delà, le Zambèze reprend son cours normal entre les gorges de Kariba.
Source d’innombrables légendes, l’histoire des Comores plonge ses racines dans l’épopée est-africaine de l’islam.
Réputée pour son lagon, Mayotte l'est beaucoup moins pour sa nature terrestre. Des sentiers de randonnée permettent de découvrir l'intérieur de l'île. Une plongée en forêt avec bouteilles d'eau indispensables.
Un calme olympien règne sur la plage de l’anse La Blague. On y entend jusqu’à la chute d’un couvert, au village, à une bonne centaine de mètres…
À Madagascar, au cœur du massif montagneux de l'Isalo, deux grottes portent des traces d'occupation humaine qui n'ont jamais été clairement identifiées. C'est ici, supposent des historiens, que s'acheva le périple d'une troupe de plusieurs centaines de naufragés portugais. L'ampleur du désastre, l'épaisseur du mystère, l'étrangeté du cadre, conduisent à la frontière de l'indicible.
C’est de nos jours la West Coast, la côte atlantique de l’Afrique du Sud. Ici, l’Afrique finit sans effort dans une eau colérique par une maigre plaine de sable et de buissons entrecoupée de falaises. En 1497, Vasco de Gama aborda cette première terre, au-dessus du Cap de Bonne-Espérance, après cinq mois de navigation. Dans son sillage, les navires d’Europe reprendront des forces à l’abri des baies de cette côte avant de franchir le fameux cap. Pour les San et les Kheokhoen qui peuplent le pays, tout bascule quand les Hollandais décide de s’installer.
1986, au Pérou, sur le rio Madre-de-Dios, un affluent de l'Amazone. Quatre jours de pirogue. En chemin, un bateau coincé dans les arbres, des chercheurs d'or, des Amérindiens distants et méfiants, un crocodile dans un lac...
Difficile de repérer, du large, la baie de Saint-Augustin : elle se fond dans la ligne des falaises. A Madagascar, au pays des pêcheurs vezo, cette baie fut longtemps un repaire de pirates, un refuge de naufragés et le cadre de projets chimériques de colonisation.
Madagascar doit aux lémuriens un de ses premiers noms européens : la Lémurie, le pays des spectres. Au sud-est de la Grande Île, le pays des Antanosy (les hommes de l'eau) est la terre d'élection de deux espèces en particulier, le maki et le sifaka. C'est là qu'au dix-septième siècle les Français choisirent de s'installer.
Œuvre de cinq siècles de colonisation, Ilha de Moçambique fut la plus ancienne et solide des places fortes portugaises sur la tête orientale de l’Afrique. Forte aujourd’hui d’un patrimoine architectural et historique exceptionnel, l’île monument est en quête d’une nouvelle vocation touristique.
Au nord du Mozambique, l’île d’Ibo et l’archipel des Quirimbas se découvrent dans une ambiance mystérieuse aux accents swahilis et lusophones. Un lourd passé hante les ruines de l’ancien bourg portugais.